Dalva d’Emmanuelle Nicot a remporté 7 prix ce samedi 9 mars, dont celui du Meilleur film. Augure de Baloji décroche 5 statuettes saluant sa direction artistique. Côté interprétation Arieh Worthalter est le premier comédien à être primé à deux reprises lors de la même Cérémonie, tandis que Lubna Azabal décroche son 3e Magritte de la Meilleure actrice.

Bien que les trois directeur·ices de la photographie en lice cette année pour le Magritte de la Meilleure photo soient tous novices dans cette catégorie, leur nomination vient saluer de belles collaborations au long cours avec leurs cinéastes.

Ce sont trois films bien différents, qui sont en lice pour le Magritte du Meilleur son mais qui prouvent une fois encore la pertinence et l’exigence des techniciens et techniciennes du son belges.

Ce sont rien moins que quatre premiers films et un deuxième qui sont en lice cette année pour le Magritte du Meilleur film, prouvant une fois encore s’il en était besoin que le cinéma belge regorge de talents et de ressources, qu’il se réinvente constamment, et ce dans tous les genres, et tous les styles.

Ce sont quatre valeurs sûres qui brigueront le Magritte de la Meilleure actrice le 9 mars prochain, pour quatre films aux énergies bien différentes, mais qui viennent confirmer l’étendue de leur talent.

Que des habitués cette année pour le Magritte du Meilleur acteur, offrant ainsi un beau panorama de ce que le cinéma belge peut offrir dans sa qualité et son exigence de jeu, dans de nombreux registres différents.

Ce sont quatre acteurs expérimentés que l’on retrouve cette année en lice pour le Magritte du Meilleur acteur dans un second rôle. Trois d’entre eux ont déjà contribué à écrire l’histoire des Magritte du Cinéma. Et face à eux : un « petit nouveau ».

Les quatre actrices nominées pour le Magritte du Meilleur second rôle viennent d’univers bien différents, mais toutes mettent leur talent au service de films d’ensemble où chaque rôle compte.

La catégorie Meilleur film étranger nous fait voyager aussi bien entre les continents que dans les genres, du Piémont à la Corée du Sud en passant par le Maroc contemporain, ou une France rurale légèrement dystopique, de l’animation au thriller fantastique, de la quête identitaire à l’histoire d’amour empêchée.

La catégorie Meilleure réalisation fait la part belle aux premières fois cette année, avec la présence de trois cinéastes, Baloji, Emmanuelle Nicot et Zeno Graton, qui présentent leur premier long métrage, tout en consacrant également l’incroyable créativité du duo formé par Ann Sirot et Raphaël Balboni, nominé pour la deuxième fois en trois ans dans cette catégorie.